Concernant la décision de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples enjoignant le Bénin de suspendre l’exécution de la décision de la CRIET et de mettre sous quinzaine dans un rapport, les dispositions prises pour faire jouir de leurs droits les accusés, une certaine presse s’entête à enliser notre pays dans la gadoue.
Avec à leur tête des prétendus experts communicants, les gâte-papiers scribouillent des sordidités, les uns prétendant que la décision n’existe pas, les autres arguant qu’elle n’a pas été notifiée à l’État, tout comme s’il s’agissait d’une récréation de baliverniers. Les sangsues transfusées à la politicaillerie rupturienne se contorsionnent à encourager les manœuvres qui maintiennent le pays dans la salissure afin que ne puissent définitivement s’y approcher quelque investisseur.
Mais aux desseins de ces macchabées maladroitement ressuscités, résiste la vérité des faits afin que soient prises les dispositions idoines pour arrêter la saignée. Le Bénin, même avec leur putréfaction sans cesse agitée, ne sera pas un désert comme ils l’espèrent.
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